Lorsque nous avons besoin de soins médicaux et que nous ne pouvons pas donner notre consentement parce que nous sommes inconscients, il existe deux façons de l'exprimer à l'avance, qui sont toutes deux compatibles : en désignant un représentant ou en rédigeant un document qui peut être consulté par les médecins.
Ce document porte différents noms et nous y inscrivons les actes médicaux que nous acceptons ou refusons.
Il est conseillé de le signer devant un notaire, afin qu'il ait une plus grande valeur juridique.
Dans ce document, on peut désigner ou non des représentants. Dans le cas de la désignation d'un représentant, le document doit lui servir de rappel de ce que nous voulons et de ce que nous refusons, mais il se peut qu'il décide quelque chose de différent de ce qui est écrit.
En plus de ce document, il est conseillé d'avoir dans sa poche, avec la documentation, une carte ou une feuille avec un résumé ou une copie de celle-ci, pour le cas rare où les médecins en auraient besoin et n'auraient pas accès au document dans le registre central.
Les gens de JW.org en ont une copie pliée en 8 parties, de sorte qu'elle a la taille d'une carte de crédit.
Exemple d'informations à inclure, à accepter ou à refuser :
Transfusions (déconseillées, sauf votre propre sang en circuit fermé, non stocké, et aussi l'eau de mer isotonique Quinton.es vendue en pharmacie).
Vaccinations (déconseillées)
Euthanasie (déconseillée)
Le don d'organes ou d'autres parties du corps (déconseillé).
Don de cadavre à la science (déconseillé)
Chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie du cancer (déconseillé)
Oxygène à plus de 50 % (déconseillé)
Traitement de la douleur (déconseillé)
Antiviraux (déconseillé)
Psychotropes (déconseillé)
Lorsque la volonté du patient est claire (le patient est majeur, conscient et serein, ou a un document de directives anticipées), le médecin ne peut pas imposer de traitement ou de test diagnostique. En revanche, en l'absence de ces circonstances, le médecin est plus susceptible d'imposer sa volonté, par exemple lorsque le patient est mineur et/ou que le médecin considère que le représentant du patient est « inapte », « discutable », « inadapté ». Dans le cas des mineurs, l'avis du médecin prévaut toujours et est soutenu par la justice. Peut-être seulement si le réprésentant est un médecin peut-il s'opposer à sa volonté ; c'est pourquoi il est conseillé aux adultes de faire un document de directives anticipées.
En d'autres termes, si un médecin décide qu'un enfant a besoin d'une transfusion, les juges le soutiennent. L'avis des parents n'est pas pris en compte.
Dans la directive anticipée, outre l'explication que l'eau de mer a été prescrite par la Sécurité sociale française, j'ajouterais que les médecins ne sont pas en droit d'invoquer l'objection de conscience pour refuser d'opérer une personne qui refuse les transfusions. Cette affirmation, outre son fondement juridique, est explicitée par les comités de bioéthique.
Texte relatif aux transfusions :
Je ne souhaite pas recevoir de transfusions (de sang ou de produits sanguins d'autres personnes ou d'animaux). Au lieu de transfusions ou de sérum physiologique, je souhaite recevoir une injection d'eau de mer isotonique (de préférence de marque Quiton.es).
L'eau de mer (diluée) était prescrite par la Sécurité sociale française jusqu'en 1980, sous forme de boisson ou d'injection, sans contre-indications, comme l'indique son vade-mecum (« Dictionnaire Vidal »), consultable sur martin13.com/fr/090.html. On ne peut donc pas prétendre que son utilisation est contraire aux bonnes pratiques médicales, car cela reviendrait à dire que la Sécurité sociale française pratiquait massivement de mauvaises pratiques médicales en 1980, l'eau de mer étant injectée massivement (et ce depuis le début du siècle). L'ignorance de ce fait ne justifie pas de parler de « faute professionnelle » l'utilisation médicale de l'eau de mer. La marque Quinton.es bénéficie de l'autorisation 7627-PS de l'Association espagnole des médicaments et des produits médicaux pour la fabrication de produits médicaux.
En Espagne, depuis le changement de régime politique en 1975, un mouvement politique se développe (municipalistas.es), indépendant des grands partis, sans idéologie, et qui coordonne des petits partis de toutes les idéologies. Dans certaines régions (Valence), ils ont déjà 30% des voix. Ils veulent que les municipalités reçoivent l'argent qui leur revient de droit. Dans ce mouvement, il n'y a pas seulement des gens de gauche et de droite, mais parmi ses électeurs, il y a des assassins, des trafiquants de drogue, des pédophiles,... même les pires personnes : celles qui ont un peu de haine pour leur voisin (I Jean 3,15). Tous unis pour atteindre cet objectif. |
